Théâtre L'Échangeur

Programmation de spectacles pluridisciplinaires. Théâtre contemporain, danse, musique, ateliers pour enfants et adultes.

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L'Échangeur
59, avenue du Général de Gaulle
93170 BAGNOLET
Métro : Gallieni [ligne 3]

01.43.62.71.20

info@lechangeur.org
http://www.lechangeur.org


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« Devons-nous être morts (…) pour que nous soyons lus, entendus, joués ? »
La terrasse – Eric Demey – 24/05/2016

[Au bois] Le jeu en vaut la chandelle, le temps théâtral est vif et facétieux, amuseur et amusé.
Hottello – Véronique Hotte – 20/06/2016

Etats singuliers de l’écriture dramatique est un projet de l’inquiétude décliné de manière sensible par des auteurs bien vivants, de l’écriture à la profération. Les lectures partagées y sont d’une grande intensité.
Ubiquité Culture – Brigitte Rémer – 23/06/2016

Une expérience troublante, sensorielle et onirique
Artpress – Georges Banu- Juin 2016

La performance de l’actrice, texte en mains, est grave, tendue et émouvante.
Hottello – Véronique Hotte – 19/05/2016

Les oeuvres autofictionnelles ont pour effet de transmettre une politique du « je », une politique de l’art […] Touch me et Taste me en sont l’illustration magnifique.
Inferno Magazine – Mari Mai Corbel – Summer 2014

Trois récits composant sa personne, livrés sans fausse pudeur mais avec délicatesse et un aplomb splendide.
Ventilo Magazine – Barbara Chossis – 10/12/2015

Il y a dans cette performance-fleuve une grande douceur dans la manière de narrer le domaine de l’intime.
Les Lettres françaises – Anais Heluin – Mai 2016

[Décris-ravage] Les expressions gestuelles surlignées jusqu’à devenir une simili-langue des signes apporte un ton cocasse au spectacle.
Libération – Gilles Renaud – 24/03/2016

« Décris-ravage » est un spectacle à la fois érudit, impertinent et ludique, une sorte de détournement du théâtre documentaire dans la joie du savoir.
Mediapart – Jean-Pierre Thibaudat – 30/03/2016

Éric Vautrin, Sandra Iché et Adeline Rosenstein ont un art aiguisé de la mise en récit de connaissances issues des sciences sociales.
Qantara- Anais Heluin – Printemps 2016

Théâtre du blog

« Appontages et le flot dépassa ma sandale…» de Martine Venturelli et son équipage.
Article de Christine Friedel
29 février 2016

Repartir aux origines : se plonger dans le noir et laisser venir les sons, peu à peu perceptibles. Puis des éclats de lumière se produisent, et des «éclats de paroles», fugaces. Sur cet écran noir, et sous l’influence de cette écoute presque inconsciente de paroles morcelées, le spectateur projette ses visions marines. Chocs métalliques, cris dans la nuit, brusques coups de projecteur : on pense évidemment à Calais, au tunnel sous la Manche, aux fugitifs poursuivis.
Toute l’inquiétude d’un port nous gagne, en même temps qu’une grande quiétude, celle du noir et du silence, avec le grand lyrisme de la musique (la contrebassiste Joëlle Léandre, Jean-Sébastien Bach, György Ligeti, Jean-Luc Guionnet).
Les paroles, brèves, coupées, cassées parfois, à l’exception de la litanie biblique de L’Histoire de Jonas (dans la traduction d’Henri Meschonic), sont de Didier-Georges Gabily, Maurice Blanchot, Georg Büchner et Antonin Artaud. Sous-jacentes à l’expérience mais fondant cette recherche sensorielle, elles sont presque évacuées du résultat final. Ce que l’on regrette.
Ce théâtre-laboratoire parvient à quelque chose qui serait la réinvention d’une représentation, d’un théâtre artisanal et immense bénéficiant ici du beau plateau de l’Echangeur… L’expérience, précieuse pour le public mais parfois alourdie par l’exercice montré comme tel, est ici trop avancée pour garder des restes de son élaboration : on a envie qu’elle aille jusqu’au bout. Ou alors, qu’elle recule d’une étape et nous fasse participer à la construction de ce puzzle.
Tel quel, ce spectacle, en coupant la parole à Didier-Georges Gabily par exemple, la lui rend comme jamais. À suivre absolument, et à rattraper là où il se jouera.

[10-18h]  – Atelier d’écriture théâtrale au Théâtre L’Echangeur
Précédant ses lectures de Hospitalités, le triptyque théâtral auquel il se consacre durant sa résidence, Gilles Aufray propose aux bagnoletais de s’essayer à l’écriture de formes courtes – contes, poèmes, chansons, rêves, lettres, monologues, dialogues – pour/vers le théâtre…

[COMPLET]
Les cahiers de Gilles Aufray, à lire :
Cahier #1
Cahier #2

Cahier #3
A écouter : une interview de Gilles Aufray par les élèves de la Classe ULIS

Renseignements auprès de Camille Laouenan – 01 43 62 12 86 – public@lechangeur.org

Né en France, au Mans, Gilles Aufray vit en Angleterre, à Londres. Il écrit en français et en anglais, pour le théâtre, mais aussi des nouvelles et de+s contes. Ses textes et pièces sont publiés aux éditions l’Harmattan, Cénomane, Lansman, Théâtrales, La Fontaine, l’Amandier, Espaces 34 ; et deux livres pour enfants ont été publiés aux éditions Grandir. La Résidence d’écrivain de Gilles Aufray a été rendue possible grâce au Conseil Régional d’Île-de-France dans le cadre de son programme Résidences d’écrivains en Île-de-France.

Fenêtre, 1981 – bois peint, « verre goutte d’eau », 72 x 52 cm – Oeuvre de Pierre Buraglio – Crédit photo A. Ricci – Courtesy galerie Jean Fournier.

[…] Elles vont et viennent ces vagues de mots, elles aiment un théâtre fait d’écoulements de sabliers, d’éclairs et de clapotis d’eaux troubles. Le spectacle oscille lui aussi entre différents pôles. On pourrait dire de lui ce que Virginia Woolf dit de son cheminement le 17 juillet 1931 dans son journal alors qu’elle vient d’achever « Les vagues », son texte le plus personnel: « du moins ai-je tenté de saisir ma vision et si je n’y suis pas parvenue, j’aurai quand même jeté mes filets dans la bonne direction ». Le verdict de son premier lecteur, Léonard Woolf sera sans appel : « c’est un chef d’œuvre».
Jean-Pierre Thibaudat – Mediapart | Le balagan – 11/03/2016

[…] Ces éléments de littérature, organisés comme les interventions d’un chœur où chaque récitant est une pièce  maitresse, sont rythmés par un important travail de création, visuelle et sonore […] On entend ce spectacle comme une petite musique de nuit trouée de présences fantomatiques et poétiques. De belles images arrivent en flux et en reflux.
Brigitte Rémer – Ubiquité Culture(s) – 10/03/2016

 

Spéculateurs d’un côté, petits éleveurs et ouvriers de l’autre. Et, au milieu, Jeanne Dark qui cherche à comprendre. Portée par une mise en scène costaude et une Jeanne phénoménale, la pièce de Brecht fait mouche et mal, là où ça fait mal.
Mediapart – Jean-Pierre Thibaudat – 18/03/2016

La prise de conscience ouvrière est mise en exergue dans la mise en scène lumineuse de Marie Lamachère.
Hottello- Véronique Hotte – 03/04/2016

Marie Lamachère et ses nombreux acteurs nous restituent avec justesse l’atmosphère de la pièce, et invitent le spectateur à remettre en question ce monde dans lequel il vit et auquel il contribue dans ses actes quotidiens.
Un fauteuil pour l’orchestre – Ulysse Di Gregorio – 05/04/2016

Théâtre-Actu
le site de l’actualité théâtrale

« Appontages et le flot dépassa ma sandale…» Mise en scène, partitions lumière et son Martine Venturelli, au Théâtre L’Échangeur
Article de Paula Gomes
23 février 2016

Un rêve sonore, voyage poétique à travers flot

C’est dans l’obscurité totale que tout commence. Une quinzaine de minutes où le public prend contact avec l’œuvre. Les sonorités sont multiples, étonnantes et harmonieuses, l’ouïe est aiguisée. Quelques vibrations, bruissements de feuilles, et très vite l’univers marin apparaît avec des cornes au loin. Les corps se devinent par souffles, glissements. L’imagination du spectateur se construit d’autant plus que l’immatérialité persiste : pas d’incarnation, silhouettes furtives, torses nus, phrasés rares, brumes et ombres. Mineurs, naufragés, gardiens de phare, mer, sans certitude, l’assistance suit cet étrange équipage vers des rivages lointains. Un voyage poétique et hors du commun où le lâcher prise est nécessaire pour apprécier pleinement la traversée.

Martine Venturelli nous offre une création épurée avec une partition sonore incroyable. Prise en compte de la dimension métaphysique et spirituelle qui nous entoure, des éléments (tempête, mer agitée). Les lieux sont parfois suggérés par des sons. Martine Venturelli va à l’essentiel, sans avoir peur de déstructurer, assembler et inventer un nouveau langage scénique. Les textes savamment choisis (Abraham, Büchner, Gabily, Lowry…) sont mis en lumière et soulignés par des œuvres musicales (Ligeti, Bach, Léandre…). Chorégraphies remarquables, parfaite organisation de l’espace et des accords entre les corps et les objets. Apparitions, éléments flottants, un monde onirique où éclairage et acoustique émerveillent.

 

L’expérience est aussi particulière pour les comédiens qui jouent dans le noir. Ils doivent trouver de nouveaux repères, être dans une écoute accrue avec tous leurs sens en éveil. C’est un nouveau jeu qui s’opère. Les acteurs agissent sur le son, la lumière et l’espace. Ils portent les lumières et font glisser des armoires métalliques qui deviennent des partenaires de jeu et aussi des porteurs de sons (enregistrements poétiques). Présence de deux musiciens sur le plateau (saxophone, percussions) qui animent les matières sonores (bande-son, comédiens, sons plateau et sons des portes d’armoires). Beauté esthétique, émotions et moments magiques dans la nuit avec un phare qui guide les travailleurs, une diva sur une balançoire dont la voix particulière traverse les airs. Une belle énergie du groupe et un spectacle bien rythmé.

A noter le prolongement du plateau avec l’exposition « Agencements de territoires » présentant les peintures de Gérard Venturelli. De l’énergie, avec une poussée vers l’écriture sans vraiment l’atteindre, une finalité en suspens. Un mouvement d’absence qui constitue l’aventure Venturelli.

 

Appontages et le flot dépassa ma sandale…

Mise en scène, partitions lumière et son Martine Venturelli
Équipage Juliette de Massy, David Farjon, Suzanne Llabador, François Lanel, Sylvain Fontimpe, Riwana Mer, Nicolas Carrière (Régie son)
Accompagnement de l’écriture du son au plateau Thierry Besche
Voix, accordéon François Tanguy
Musiques de Joëlle Léandre, Grand duo concertant
Gyorgy Ligeti, Coulée et Lux aeterna
Jean-Sébastien Bach, La Passion selon Saint-Jean
Jean-Luc Guionnet, musique pour Appontages
Sons de phare Anne Baudoux, François Tanguy, Martine Venturelli
Éclats des paroles de Malcolm Lowry, Poèmes – Jean-Pierre Abraham, Armen – Didier-Georges Gabily, Violences et Chimères – Maurice Blanchot, Au moment voulu – Georges Büchner, Lenz – Jonas, traduction Henri Meschonnic – Antonin Artaud, Cahiers d’Ivry
Constructions des objets sonores et lumineux Atelier recherche scène (1+1=3)
Script de plateau, intendance Typhaine Rouger

Du 19 au 23 Février 2016

Théâtre L’Echangeur
59, avenue du Général de Gaulle
93170 Bagnolet
http://www.lechangeur.org

 

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