Théâtre L'Échangeur

ATELIERS DE CREATION 2010: PREMIER VOLET

Théâtre | Ateliers | Création |

Le 14 mai 2010

3 COURTES FORMES AVEC DEUX ATELIERS JEUNES ET UN ATELIER ENFANTS  | 45 PARTICIPANTS

ATELIERS JEUNES DU COLLÈGE POLITZER  |12 -15 ans |

L’Atelier volant

Réalisation Fabrice Clément, Majida Ghomari et Robin Narèce | d’après Valère Novarina |avec Sabia Mohammad, Sira Keita, Feriel Mehani, Manel Rabia, Sana Bouknatar, Aminata Keita, Maxime Mathurin, Lyna Saoucha, Leïla Bachchikh, Haïlé Delesque, Charles Roux, Mina Mathieu, Jade Lopparelli, Rachida Benbernou, Rocco Campochiaro, Samy Benbekta, Merabha Saïdane

Deux créations immergées dans l’écriture de Valère Novarina. Une exploration des différentes pièces et textes que nous proposons en fragments. « Les spectacles que j’essaie de faire ce sont des cathédrales de souffle. Mon père a beaucoup construit. Moi je construis des architectures d’un soir. » Valère Novarina

ATELIER JEUNE ECHANGEUR |14-16 ans|

Tohu bohu

D’après Valère Novarina |Réalisation Majida Ghomari, Fabrice Clément |avec Léa Riobe ,Cyan Malherbe Dufour, Antoine Bloch, Agathe Pommerat, Alice Romet, Ana Czajka Dubois, Gabrielle Mezquida, Lucie Poli, Mathilde Hutzler, Fany Combrou, François Oliva, Pandora Gegauff Teycheney, Prescillia Beys, Ramata Diallo, Suzanne Lazarus, Zoé Bernard , Pierre Leverbe

De décervelage par la langue, il est question aussi dans ce montage d’extraits de pièces de Valère Novarina : L’opérette imaginaire, Je suis, L’origine rouge et L’acte inconnu forment ce tohu-bohu défendu par une bande de (faux?) utohipistes se posant la question essentielle : « Qui suis-je dans ma cage d’homme ? » Un consommateur ?

ENFANTS ECHANGEUR  |11-13 ans|

Analphabètes diplômés

Réalisation ROBIN NARECE, THEO SANCHEZ  | montage de textes de Boris Vian , Renaud, Pierre Perret, François Caradec | avec Camille Bacou, Tom Bacou, Lucien Bille, Inès Eding, Romane Girondel, Camille Lucas, Marin Orcand-Tourres, Ferdinand Point, Jarod Priam, Marion Suchaire, Gabriella Sutter, Ulysse Vassard

 A l’assaut de l’argot, de la langue verte, des mots qu’on dit gros et autres langages imagés. Juste pour le plaisir de dire des mots interdits, avec le sourire.   « On gamberge ferme pour vous bonnir une vanne comac, pas piquée des vers »  Boris Vian