prog
prog

mars 2024

← février avril →
LMMJVSD
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31


L'Échangeur
59, avenue du Général de Gaulle
93170 BAGNOLET
Métro : Gallieni [ligne 3]

01.43.62.71.20

info@lechangeur.org
http://www.lechangeur.org


Cet événement est terminé

RÉSIDENCE STUDIO LAROCHE-VALIÈRE : UN LIEU—COMME—ŒUVRE.

Le 20 septembre 2018
de 15h00 à 19h00


J’écrivais, des silences, des nuits… – Un lieu-comme-œuvre. – (…) dans l’indice… phase 2

Création – conception : François Laroche-Valière | Activation : Julien Monty – interprète
    

J’écrivais des silences, des nuits… s’inscrit dans la deuxième phase de la pièce (…) dans l’indice… au sein de la pièce-dispositif Un lieu-comme-œuvre.
J’écrivais des silences, des nuits… est une configuration singulière articulant plusieurs pièces créées et réinscrites en un seul geste – un enchâssement et une juxtaposition – où le visiteur est accueilli et convié à expérimenter une tension, une configuration et une constellation spécifiques de la pièce-dispositif Un lieu-comme-œuvre.

La jauge est limitée à cinq personnes par cycle, les visiteurs rencontreront l’œuvre en situation, là où l’avènement d’une possible conversation délivre des indices d’interprétation à la fois du lieu en acte, de ses silences et de ses nuits.

L’espace incarné par la présence même des visiteurs et le site pensé comme une œuvre en soi, la déambulation et les diverses pièces constituant Un lieu-comme-œuvre. – ainsi que les conditions mêmes de perception des pièces et de leurs phases – sont réunis dans un ensemble à la fois clos et ouvert pour amener le sujet en présence à un accès au langage, à la nomination, à l’énoncé – au témoignage. L’acte a lieu dans un écart – un écart de langage.
Le silence, les silences, rendent compte de cette expérience comme origine et accomplissement du regard. Les nuits sont d’autres lieux à franchir où la voix opère une transformation. Un statut chorégraphique, le geste d’un seul acte, celui d’être en présence et d’écouter la venue d’une vibration ou d’un souffle.

La spatialité est tendue tel un corps en suspension au seuil d’un mouvement indécelable, indécidable, entre le mobile et l’immobile – un écart, une écriture. François Laroche-Valière


Le public est invité à visiter ce dispositif.
La circulation est libre et n’a pas d’incidence sur le protocole établi et les activations.

Trois cycles chaque jour – jauge maximum limitée à cinq visiteurs par cycle – durée d’un cycle 2h00 – visite uniquement sur rendez-vous

Réservation indispensable – Camille Trastour > mediation@studiolv.fr


Plus d’informations sur Studio Laroche-Valière – Cie et Un lieu-comme-œuvre


Conception et réalisation
François Laroche-Valière

Site internet de la compagnie
www.studiolv.fr